L’ Afrique face à l’exploitation de ses matières premières
Au regard des contrats miniers que les pays africains signent avec la Chine, les analystes pensent que le continent n’a pas tiré leçon de ses expériences du passé. Les travers de l’époque coloniale ont juste changé de forme.
En effet, les pays européens avaient besoin de matière première et l’environnement géopolitique de l’époque leur permettait de le faire par la force tout en laissant les populations locales dans la pauvreté la plus criante. Et c’est ce qu’ils firent.
Aujourd’hui, la Chine a besoin de beaucoup de matière première pour soutenir sa croissance et son développement industriel, en jetant son dévolu sur l’Afrique. Pour atteindre ses objectifs, l’état dans lequel Pékin compte laisser le continent, aussi bien sur le plan environnemental que sur le plan socio-économique, semble ne pas faire partie de ses priorités.
C’est la raison pour laquelle, les dirigeants africains doivent prendre conscience des enjeux mondiaux et se placer en dernier rempart pour la protection et l’épanouissement de leur peuple. Le pillage du continent noir se fait malheureusement avec la complicité et la bénédiction des décideurs locaux. Bien souvent avides et prêts à sacrifier l’intérêt national à leurs intérêts personnels, ces héros d’hier qui ont milité pour rendre à l’Afrique sa liberté politique ont trempé dans le bradage de ses richesses.
Pour certains, l’ignorance et l’incapacité de percevoir l’échiquier mondial et temporel avaient été la source de nombreuses erreurs. Cependant, à bien des égards, l’intérêt personnel est la cause principale du malheur africain. La Chine n’étant pas la seule intéressée, puisque ceux qui veulent des matières premières frapperont toujours à la porte du continent.
Le « colon blanc » n’est jamais parti, mais s’est juste adapté. Les entreprises occidentales sont toujours bien implantées en Afrique et continuent à l’exploiter les richesses, à l’instar de leurs prédécesseurs. La fin de ce cycle d’exploitation des richesses des pays africains dépend d’abord de la politique de contrôle des richesses, menée par les dirigeants africains.
L’Afrique face à l’exploitation de ses matières premières
Au regard des contrats miniers que les pays africains signent avec la Chine, les analystes pensent que le continent n’a pas tiré leçon de ses expériences du passé. Les travers de l’époque coloniale ont juste changé de forme.
En effet, les pays européens avaient besoin de matière première et l’environnement géopolitique de l’époque leur permettait de le faire par la force tout en laissant les populations locales dans la pauvreté la plus criante. Et c’est ce qu’ils firent.
Aujourd’hui, la Chine a besoin de beaucoup de matière première pour soutenir sa croissance et son développement industriel, en jetant son dévolu sur l’Afrique. Pour atteindre ses objectifs, l’état dans lequel Pékin compte laisser le continent, aussi bien sur le plan environnemental que sur le plan socio-économique, semble ne pas faire partie de ses priorités.
C’est la raison pour laquelle, les dirigeants africains doivent prendre conscience des enjeux mondiaux et se placer en dernier rempart pour la protection et l’épanouissement de leur peuple. Le pillage du continent noir se fait malheureusement avec la complicité et la bénédiction des décideurs locaux. Bien souvent avides et prêts à sacrifier l’intérêt national à leurs intérêts personnels, ces héros d’hier qui ont milité pour rendre à l’Afrique sa liberté politique ont trempé dans le bradage de ses richesses.
Pour certains, l’ignorance et l’incapacité de percevoir l’échiquier mondial et temporel avaient été la source de nombreuses erreurs. Cependant, à bien des égards, l’intérêt personnel est la cause principale du malheur africain. La Chine n’étant pas la seule intéressée, puisque ceux qui veulent des matières premières frapperont toujours à la porte du continent.
Le « colon blanc » n’est jamais parti, mais s’est juste adapté. Les entreprises occidentales sont toujours bien implantées en Afrique et continuent à l’exploiter les richesses, à l’instar de leurs prédécesseurs. La fin de ce cycle d’exploitation des richesses des pays africains dépend d’abord de la politique de contrôle des richesses, menée par les dirigeants africains.