Angola : les investissements aux mains des africains
L’on pouvait entendre glisser des propos de Mme Exalgina Gambôa, lors du sommet Angola/Corée du sud qui se tenait à Luanda la semaine dernière, que les investisseurs les plus présents en Angola sont en majorité africains et pour certains angolais. Elle a ajouté que le risque couru par ces investisseurs dénotait d’une confiance grande que ceux-ci avaient en le pays et de la conviction qu’ils ont en l’avenir de l’Angola.
Autorités, acteurs, populations à presque tous les niveaux, se sont donnés les moyens de pouvoir accéder à un niveau de croissance, c’est en partie ce qui explique une présence aussi élevée d’investissements. Le pays est classé troisième Africain, principal récepteur des investissements directs étrangers après l’Afrique du sud et le Nigéria. Ce rang honorable, duquel l’Angola se réjouit tant, est en réalité le fruit d’un dur labeur.
Le marché angolais n’est pas un marché à minimiser. Il regroupe en son sein 7 000 0000 de consommateurs. Notons que la vitalité dont fait preuve les politiques d’investissements est énergique et appropriée à son marché. Ces politiques sont flexibles, stables, adaptées pour la majeure partie des acteurs économiques et représentent une vrai opportunité dont il faut à tout pris se saisir.
Aujourd’hui, la Corée du sud souhaite développer des relations commerciales avec l’Angola parce qu’elle reconnait ce marché pour son efficacité surprenante en matière de demande.
Les secteurs d’activités dans le privé, sont en pleine mutation et ont besoins davantage d’investisseurs.